Nos objectifs

Nos objectifs

Retrouver le plaisir de manger

Nos comportements nutritionnels ont un impact sur notre santé.

Certains aliments ou familles d’aliments possèdent des vertus que la science reconnaît formellement. Les personnes fragilisées doivent souvent bénéficier d’une adaptation des repas (gout, variétés, textures adaptées, enrichissement, etc.) mais nous devons impérativement conserver le plaisir de manger.

De plus en plus de régimes sont éliminés, les qualités gustatives et olfactives des préparations deviennent la priorité.

Innover en s’inspirant de la gastronomie

Certaines pathologies nécessitent la mise en place de textures adaptées à la capacité d’alimentation des personnes fragilisées . Celles-ci sont souvent un facteur de perte de poids, d’isolement social et de dénutrition.
• Les textures modifiées (liquides, mixées, moulinées…) peuvent être améliorées.
• Le « manger main » doit être plus souvent proposé et s’inspirer de la cuisine moléculaire.
• La maitrise des cuissons améliore la qualité gustative des produits (cuisson basse température).
• L’innovation culinaire doit être au service des personnes fragilisées en s’inspirant de la gastronomie traditionnelle.

LUTTER CONTRE LA DÉNUTRITION

La dénutrition c’est :
• 2 millions de personnes en France
• 38% des personnes lors de leur entrée en EHPAD.
• Un coût estimé à 1 milliard d’euros.

Au moment des repas, il faut faire place à l’imagination pour stimuler les meilleures sensations et renforcer les gouts. Varier la nourriture avec de nouvelles saveurs.

Revoir les conditions de prise des repas , présenter les plats de manière plus appétissante et assurer une température adaptée.

Communiquer sur les origines des produits utilisés et la composition des plats afin de rendre le repas convivial.

Maintenir le lien social.

dénutrition

LUTTER CONTRE LE GASPILLAGE ALIMENTAIRE

Les moyens alloués à l’alimentation en restauration collective ou en portage à domicile sont de plus en plus réduits. Cela impacte inévitablement la qualité des repas.

Il faut savoir qu’en moyenne :
• 17 % des quantités préparées sont gaspillées.
• 14% du coût d’achat des matières premières est perdu.

Ex : Pour un hôpital qui sert 1000 repas/jour, 365 jours par an, le gaspillage alimentaire est estimé à 100.000 €. Source ADEME Rhone-Alpes 2015/2016

La lutte contre le gaspillage alimentaire est un levier essentiel pour repenser l’allocation des ressources en favorisant les circuits courts et les producteurs locaux.